15 juillet 2017
Je commençais à trop y prendre mes aises sous cette toile de tente, à m’y sentir comme chez moi ; ça ne pouvait décemment pas durer. Un matin les marcassins m’ont donc rappelé que ce qui arrête une laie ne les concerne pas forcément, et que je dormirai sur mes deux oreilles seulement le jour où leur espèce ne fera plus de petits. Bonne nuit !