Le métier – 8

18 février 2018

Privilège, sans doute, d’une époque où elles nous facilitent grandement la vie dans bien des domaines, je me permets d’haïr cordialement les machines. Persuadé au passage qu’elles me le rendent bien, en se permettant des soucis et des pannes iconoclastes qui défient toute logique apparente, voire divisent les spécialistes. Spéciale dédicace, présentement, à la parabole pour internet et à son modem, au moulin à céréales… Et à ma chaudière à bois, meilleure ennemie pour toujours ?

Tour à tour je rêve de n’avoir rien à faire avec les machines et je fantasme de mieux les connaître pour comprendre leurs états d’âme. In fine, je me réfugie dans les histoires pour oublier mon manque d’ambition à me passer de la technique (téméraire) ou à l’étudier (laborieux).