Ma vie d’élu – 3

26 avril 2017

À relire celle écrite et gardée pour moi l’an dernier, je constate que j’y disais déjà l’essentiel, avec les pincettes qui s’imposent et qui ne suffiront jamais. Inutile, donc, de réécrire aujourd’hui une lettre de démission au Conseil Municipal puisque je sais ne pas vouloir l’envoyer (et encore moins l’y lire). Pas de bâton pour me faire abattre, sans façon ! Mais il me faut bien pourtant accepter de continuer à vivre cette expérience avec abattement.

Ma vie d’élu – 2

15 avril 2017

Après réunion du Conseil, le soulagement. D’avoir réussi principalement à m’exprimer malgré la cacophonie ambiante (que le maire, quelle gageure, arrive même à entretenir seul la plupart du temps). Dois-je m’en satisfaire ? Dois-je m’en inquiéter ? Car, à la vérité, si j’ai été écouté un peu, c’est pour mieux ne pas être entendu du tout.