6 juin 2017
Elles ne mettent pas toujours du leur pour me satisfaire, les bêtes. Soyons clairs, en vérité elles n’en mettent jamais, ni d’ailleurs pour me déplaire, mais il y a des jours où vraiment on pourrait le croire. Des jours où, lassé des sit-in devant une pâtée trop sèche, des crises de bêlements incompréhensibles, des virées dans le compost des toilettes sèches et du blocage de la porte à coups de gratouillis de terre intempestifs, je n’ai qu’envie de crier à ces outrecuidant-e-s : adieu poules, chatte, moutons !