19 avril 2017
Il faudrait donc appeler cela de la communication ? Toutes ces réponses à côté de la plaque, tous ces bottages en touche. Il faudrait donc se satisfaire de ces échanges d’informations biaisés, fuyants, évasifs, partiaux ? Au moins, quand j’écris (à mon sous-préfet, mon Conseil Municipal, la MSA*, la correspondante pour les élus chez Orange, le cinéma, tel fournisseur de matériel espagnol, tel membre de tel groupe, association, collectif…) pour bien choisir mes mots, faire le tour de ma pensée… Au moins quand j’écris, et que je n’ai pas de réponse, tout n’est-il pas plus clair ? Le mépris, la lâcheté, la peur, l’abus de pouvoir, l’absence d’empathie, le classement de mon cas au bas d’une échelle toute subjective, le respect aveugle du protocole que ça révèle n’en sont pas moins difficiles à avaler, mais on aurait presque envie de remercier pour la franchise du geste.
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