3 octobre 2017
J’aimerais croire qu’après l’été exceptionnellement sec qu’on a eu, et qui suivait un hiver sec, la situation ne peut plus se présenter en des termes aussi extrêmes. Et somme toute, comme ça s’est relativement bien passé, comme – malgré les nombreux allers-retours au captage, et les déficits d’arrosage en pleine période de production et d’accueil touristique accaparant (et alors que les douleurs physiques de ma compagne lui plombaient particulièrement le moral) – j’ai su faire face, je suis resté debout… J’aimerais croire – maintenant que bien que la sècheresse perdure le niveau du ruisseau n’est plus critique – en un avenir, si ce n’est serein, tout du moins dénué d’obstacles qui ne soient pas surmontables aisément. J’aimerais y croire solidement, définitivement, mais j’y crois seulement quand j’y crois.